暴力先锋
地区:西班牙
  类型:黑帮
  时间:2025-05-17 16:24:01
剧情简介

1945年8月,暴力日本帝国主义宣布投降,暴力饱经战乱之苦的中华民族在短暂的胜利喜悦过后,即将迎来决定民族命运的重要时刻。随着蒋介石(赵恒多 饰)撕毁停战协定,国共两党内战全面爆发。经过两年的正面对决,国共双方的差距逐渐缩小,战局终于迎来决定性的时刻。1948年初,毛泽东(古月 饰)、周恩来、任弼时等共产党重要领导人离开陕北根据地,与刘少奇、朱德率领的中央工作委员会在河北会合。经过一番审慎的考量与讨论,领导人们命令林彪(马绍信 饰)所率领的五十万东北野战军全面发起夺取东北辽沈战役。对东北去留举棋不定的蒋介石被迫应战,中华民族的命运之战拉开序幕……本片为中国共产党诞生七十周年纪念作品,是大决战三部曲的第一部。

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明星主演
刘浩龙
王珞丹
苦荣
最新评论(157+)

刘明峰

发表于5分钟前

回复 :马杜(艾萨·安哈尔 Ishaan Khattar 饰)是一个非常善良的小伙子,他的梦中情人是名叫帕缇维(贾维·卡普尔 Janhvi Kapoor 饰)的姑娘。帕缇维的父亲是一名老谋深算的政治家,正在进行竞选,因此,马杜和帕缇维的感情自然遭到了后者家人的强烈反对,帕缇维的父亲希望能够将自己的女儿嫁给门当户对的男子,而不是像马杜这样一个一穷二白的无名小子。为了不让帕缇维为难,马杜决定主动离开她,但是勇敢而又执着的帕缇维紧追不舍,两人最终走到了一起开始了甜蜜的约会。好景不长,他们之间的情事很快就被已经当选的帕缇维的父亲知道了,利用自己的权利,他对马杜进行了残酷的迫害。


何炅

发表于2分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


赵坤宇

发表于7分钟前

回复 :Middle-aged banker Arthur Hamilton is given the opportunity to start a completely new life when he receives calls from his old friend Charlie. The only problem is that Charlie is supposed to be dead. Hamilton is eventually introduced to a firm that will fake his death and create an entirely new look and life for him. After undergoing physical reconstruction surgery and months of training and psychotherapy, Hamilton returns to the world in the form of artist Tony Wilson. He has a nice house in Malibu and a manservant, a company employee who is there to assist him with his adjustment. He finds that the life he had hoped for isn't quite what he expected and asks the company to go through the process with surprising results. Written by garykmcd


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