照片福利准备好卫生纸
地区:德国
  类型:喜剧
  时间:2025-05-01 14:04:11
剧情简介

主角 Lara 于15岁之「老龄」才加入芭蕾舞班。由于较其他女孩迟起步,照片准备她每日下尽苦功,照片准备甚至练到脚尖破皮流血亦不肯歇息。Lara 的梦想不只是成为芭蕾舞蹈员——她还想成为一个女孩。是的,「他」原是家中的长子,名叫 Victor……犹幸爸爸一直在旁鼓励﹑陪她接受荷尔蒙治疗,全心全意支持她完成梦想。

9次播放
25155人已点赞
226人已收藏
明星主演
黑涩会美眉
厉娜
卢伟莉
最新评论(151+)

李西

发表于1分钟前

回复 :Exploring the fallout of MIT Media Lab researcher Joy Buolamwini’s startling discovery that facial recognition does not see dark-skinned faces accurately, and her journey to push for the first-ever legislation in the U.S. to govern against bias in the algorithms that impact us all.


何东俊

发表于6分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


摇滚主耶稣

发表于5分钟前

回复 :Professor Bettany Hughes investigates the story of Bacchus, god of wine, revelry, theatre and excess, travelling to Georgia, Jordan, Greece and Britain to discover his origins and his presence in the modern world, and explore how 'losing oneself' plays a vital role in the development of civilisation.In this fascinating journey, Bettany begins in Georgia where she discovers evidence of the world's oldest wine production, and the role it may have played in building communities. In Athens she reveals Bacchus's pivotal role in a society where his ecstatic worship was embraced by all classes, and most importantly women. On Cyprus she uncovers startling parallels between Bacchus and Christ. Finally, Bettany follows the god's modern embrace in Nietzsche's philosophy, experimental theatre and the hedonistic hippie movement to conclude that, while this god of ecstasy is worthy of contemporary reconsideration, it is vital to heed the warning of the ancients - "MEDEN AGAN" - nothing in excess.


猜你喜欢
照片福利准备好卫生纸
热度
79
点赞

友情链接: