柳生烈堂(大木实 饰)的三个儿子在追杀拜一刀父子的过程中接连战死,频网于是派出手里最后的王牌——善于使用手里剑的女儿香织(瞳顺子 饰)。最终仍难逃落败的命运。愤怒的柳生烈堂找到自己庶出的儿子——土蜘蛛兵卫(木村功 饰)。善于使用土遁术的兵卫虽然憎恨生父,频网但仍接受任务,率领蜘蛛军团扑向拜一刀父子。沿途帮助过父子二人的普通百姓皆死于土蜘蛛手下,迫使拜一刀不敢乞食和投宿,以消耗其体力。待时机成熟,兵卫与拜一刀展开对决。蜘蛛军团的失手令烈堂陷入狂怒,遂调来全部人马与拜一刀父子在雪山展开决战……
柳生烈堂(大木实 饰)的三个儿子在追杀拜一刀父子的过程中接连战死,频网于是派出手里最后的王牌——善于使用手里剑的女儿香织(瞳顺子 饰)。最终仍难逃落败的命运。愤怒的柳生烈堂找到自己庶出的儿子——土蜘蛛兵卫(木村功 饰)。善于使用土遁术的兵卫虽然憎恨生父,频网但仍接受任务,率领蜘蛛军团扑向拜一刀父子。沿途帮助过父子二人的普通百姓皆死于土蜘蛛手下,迫使拜一刀不敢乞食和投宿,以消耗其体力。待时机成熟,兵卫与拜一刀展开对决。蜘蛛军团的失手令烈堂陷入狂怒,遂调来全部人马与拜一刀父子在雪山展开决战……
回复 :在首都北京,有一个特殊的群体,他们被群众亲切地称为“小巷管家”。 “小巷管家”不是什么领导,但心里装的都是街坊四邻家门口的事,诸如邻里纠纷、占道停车、私搭乱建、公厕改造、环境提升以及照顾空巢老人等诸多和老百姓直接相关的难题。国风社区的赵建国就是首都数万名“小巷管家”中的一员,他凭着内心对党的无限忠诚与热爱,在社区党委的带领下,学习并运用“街乡吹哨、部门报到”制度,一件一件解决了困扰街坊四邻的诸多老大难问题,既为居民带来了实实在在的获得感,也向新中国成立七十周年献上一份基层党员的倾情厚礼。
回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
回复 :一对已经分手的女女情侣在片场狭路相逢,面对众剧组成员,会擦出怎样的火花!~