如月爱视频
地区:日本
  类型:穿越
  时间:2025-01-18 15:50:13
剧情简介

大導演胡金銓早年傑作,爱视改編自《警世通言》之〈玉堂春落難逢夫〉。故事講述吏部尚書幼子王金龍(趙雷)與名妓蘇三(樂蒂)真情相愛,爱视無奈床頭金盡,被趕出富春院。其後蘇三被老鴇(紅薇)暗賣予富戶沈燕林(楊志卿)為妾,卻被沈妻皮氏(高寶樹)誣告毒殺親夫,判以死罪。此時金龍已考取功名,官封八府巡按,為救蘇三,決意開堂覆審……本片由「古典美人」樂蒂飾女主角蘇三,配合胡金銓一絲不苟的製作,乃黃梅調片不朽的經典。

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明星主演
史丹
戴伯拉考克斯
铃木雅之
最新评论(164+)

诗音

发表于5分钟前

回复 :布兰顿(希拉里•斯万克 Hilary Swank 饰)来到法奥斯城,成为了当地的大众情人,很受女性欢迎。然而他却有着不为人知的隐秘——俊男本是女儿身。“他”的真名叫蒂娜,一直对自己是个女性缺失认同。他喜欢成为男性,并决定来到这个陌生的城市开始新角色和新生活。布兰顿和当地女孩拉娜(科洛•塞维尼 Chloë Sevigny 饰)恋爱了,还和拉娜的前男友成为好友——尽管他们粗野、酗酒,行为暴戾,但被接纳的布兰顿却得到了认同感。生活朝着布兰顿想要的方向发展,一次交通违章却暴露了所有的秘密。布兰顿被识破女儿身,尽管拉娜原谅了她,悲剧却发生了。拉娜的前男友对布兰顿怒不可遏,将她摧毁在一场残忍的暴力事件中。


王文林

发表于7分钟前

回复 :伊朗导演苏赫拉布·沙希德·萨利斯于德国拍摄的电影中,《乌托邦》是最出名的一部,被认为是他的杰作。电影讲述了柏林一家高级妓院中皮条客和他手下五个性工作者之间的故事。皮条客经常使用肢体暴力,盘剥女人的工作并操控她们彼此仇视,而女人们则抱着对未来的期许,却永远逃不开妓院的四围。


潘云峰

发表于5分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


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