贼巢本片是专门为影史最卖座恐怖电影<猛鬼街>系列制作的纪录片,本片将揭秘鬼王-弗兰迪的更多精彩幕后。
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回复 :影片改编自天佑所著的实体小说《富豪俱乐部3:形形色色富二代》。仅有58位正式会员的晶城富豪俱乐部会员许赛雁正准备与黄烈强进行商业联姻,虽然她百般不情愿,但为了家族企业也只能牺牲自我。然而婚礼前夕,许赛雁消失四年的初恋刘岳平突然回国,并入住到富豪俱乐部,身边还带着许赛雁大学时的闺蜜钱小小。万万没想到,刘岳平以高价夺下了黄烈强准备送给许赛雁的戒指,他以超强攻势告诉许赛雁,能和她结婚的只有自己。这一切让许赛雁陷入纠结,当年刘岳平临危受命去美国后便杳无音信,只收到钱小小与他婚讯。友情爱情的双重背叛,让许赛雁饱受了四年的痛苦。这时,许赛雁策划四年的“虚拟试衣间”项目也突然被刘岳平收购。在一次次两人不欢而散后,他终于找到机会澄清了事实。原来,是钱小小使了诡计让两人互相产生误会。面临着婚约的许赛雁不知所措,钱小小从中使诈,让两人陷入舆论困境,项目、家族企业、婚姻、爱情都将化为泡影。刘岳平最后一搏,反转了整个结局,终于拿出了戒指向许赛雁求婚,他所作的一切只为了保护她。
回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
回复 :Living with her father and stepmother in Naples, Anna is very unhappy as her stepmother hinders her attempts to live her own life. While her parents are away, she goes out with Carlo, but finds herself locked out when she comes home. This angers Carlo and he asks Anna to go away with him to Rome, where he plans to liquidate his business assets in order to have money for marriage. He quarrels with his partner and is implicated when his partner is found murdered. Although innocent, he is convicted and given a long sentence. Anna has a child and, finding it impossible to support her child , returns to Naples. The stepmother's conditions are that before she will agree to house the child, Anna must commit herself to a reformatory for unmarried mothers.