久久自拍视频
地区:意大利
  类型:家庭
  时间:2025-03-13 06:12:32
剧情简介

久久Notat is a feature film based on the real events of the first act of terror in Denmark.Copenhagen, Feburary 14, 2015. On an icy cold winter's day, a terrorist attack is carried out, targeting first an event on freedom of speech at the cultural centre “Krudttønden” and then the synagogue of Copenhagen during a bat mitzvah.

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明星主演
林雄威
林俊杰
原子鏸
最新评论(324+)

戴薇

发表于8分钟前

回复 :德国小镇,面目狰狞的卡里加里博士(沃纳·克劳斯 Werner Krauss饰)终于获准表演催眠术。大学生弗朗西斯(弗里德里希·费赫尔 Friedrich Feher饰)和艾伦(汉斯·海因里希 Hans Heinrich von Twardowski饰)也来观看。疯狂的卡里加里博士向众人展示他是如何催眠和控制他的搭档凯撒(康拉德·韦特 Conrad Veidt饰),并向众人宣布:凯撒可以回答大家提出的所有问题。好奇的艾伦问道:我能活多久?病态的凯撒回答:活到明天凌晨。弗朗西斯并不相信,可艾伦却是满脸惊恐。随之,艾伦真的被杀害了。弗朗西斯把消息告诉了好朋友珍妮(丽尔·达戈沃 Lil Dagover饰)和她的医生父亲。他们展开了多方追捕,可惊人的秘密却丝丝入扣,到底谁才是真正的凶手?本片是世界电影史上被谈论得最多的影片之一,是德国表现主义电影的里程碑之作。影片以其怪诞的表现主义风格,成为以后西方恐怖片为之效仿的鼻祖。1958年本片在比利时布鲁塞尔由26个国家117位电影史家评选为“世界电影12佳作”的第12名。


大桥卓弥

发表于6分钟前

回复 :徐达文(施展 饰)和徐达武(施展 饰)本是情同手足的兄弟,彼此之间感情十分要好,然而一场意外的发生令徐达文沦为了阶下囚,因为过失致人死亡罪而获得了三年的有期徒刑。在此期间,徐达武的事业蒸蒸日上,他就此走上了人生巅峰。出狱后,徐达文终于回到了日思夜想的兄弟身边,哪知道令人竟然因为金钱反目成仇。与此同时,兄弟两人的身边开始接二连三的发生科学无法解释的诡异事件,在暗中,似乎有一双眼睛一直死死的盯着他们。这一切怪异现象的源头,要追溯到三年前令徐达文锒铛入狱的那场意外中。


洪荣宏

发表于4分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


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