狼人app网址谁有
地区:韩国
  类型:华语
  时间:2025-01-30 08:09:39
剧情简介

母亲死后,狼人凯特(海伦娜·伯翰·卡特 Helena Bonham Carter 饰)被姨妈玛德(夏洛特·兰普林 Charlotte Rampling 饰)收留了。玛德希望凯特能够嫁给一个富翁,狼人从此过上衣食无忧的生活,可桀骜不驯的凯特偏偏爱上了名不见经传的小记者莫顿(莱纳斯·罗彻 Linus Roache 饰)。一个名叫米莉(艾丽森·艾略特 Alison Elliott 饰)的富家女出现在了凯特的身边,她身患重病,命不久矣。单纯的米莉爱上了莫顿,凯特将这一切都看在眼里,一条既能得到米莉家产又能收获莫顿爱情的妙计应运而生,她很快就和米莉成为了无话不谈的好友。然而,人心并不如凯特想象中的那般容易操纵,眼看着莫顿和米莉之间的感情越来越深就要失去控制,凯特陷入了深深的不安之中。

46次播放
93人已点赞
41276人已收藏
明星主演
江玲
金熙泽
中坚份子
最新评论(994+)

吉田美和

发表于7分钟前

回复 :讲述马兵、刘明亮、陶涛、杨小兵四位消防新兵,经过在消防特警中队的锤炼,最终成长为保卫国家和民人生命财产的成熟的消防战士的故事。


祝钒刚

发表于9分钟前

回复 :在经济高速发展的今天,人们执著于优渥的物质生活,而开始遗忘曾经的创痛。广岛和长崎,两个曾遭受原子弹毁灭的城市,而今活跃在这里的年轻人们已经遗忘了半个多世纪前的战争和笼罩在祖辈头顶上空的蘑菇云。但对某一类人来说,这确是一段永生难忘的恐怖记忆。本片采访了经历过原爆的生还者,他们回忆了战争时期的生活、原爆的恐怖瞬间、爆炸后的残酷场面以及之后身心所遭受的无尽痛苦。与此相对,剧组还参访了当天执行轰炸任务的美国老兵,听他们谈论了投放原子弹时交杂矛盾的感受……


高进

发表于1分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


猜你喜欢
狼人app网址谁有
热度
74
点赞

友情链接: